Dans une démocratie locale apaisée, ce projet d'immeubles au centre du village serait écarté depuis longtemps. Le référendum de fin janvier 2012 aurait été respecté. Les engagements de mars 2014 de la municipalité sortante aussi. Mais la démocratie locale est malheureusement loin d'être apaisée. Heureusement, grâce aux mobilisations depuis avril 2019, les travaux n'ont pas débuté et il reste encore la dernière chance : celle du vote du 15 mars. Le 15 mars, le choix est clair. Ceux qui veulent installer le règne du béton et du bitume à la place des prairies du Villarey vont voter pour la liste de David Richard. Leur engagement est ferme : ils veulent les immeubles. 5 ans de chantiers. Un chèque en blanc pour les conséquences financières jamais exposées par écrit. Donc probablement le doublement des impôts municipaux pour ensuite faire face aux crises multiples des sous-capacités. Si le feu vert est donné, dès mai 2020, les camions et les grues débarqueront. Mais il est aussi possible de mettre fin à ce scandale. Car il s'agit bien d'un scandale. Et ce week-end de nouvelles révélations interviendront. Depuis un an, c'est une bataille très inégale qui a été livrée. Il a fallu batailler dossier par dossier. Si la confiance est donnée à notre équipe, cette menace prendra fin. DEFINITIVEMENT. Et rapidement tant ce dossier recèle des "anomalies" d'une exceptionnelle gravité. C'est la dernière chance. Pour toutes ces raisons, ce volet du 15 mars est tout sauf ordinaire. Pour qu'il puisse intervenir dans la clarté la plus absolue, chaque jour, sur notre page Facebook nous présentons nos priorités. N'hésitez pas à la consulter. Par le lien suivant, vous pouvez le faire : Ensemble.