Il ne doit pas y avoir de malentendu sur la raison d'être des Rencontres citoyennes. Il faut seulement que les habitants de St Paul aient conscience de la réalité des enjeux. Toutes les explications en cliquant sur le podcast ci-dessous :
Première rencontre citoyenne charmas 20 06 25
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A la recherche de fonciers pour des constructions, la métropole de Grenoble va poser des choix décisifs à des Communes dites de la seconde couronne :
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Mon opinion sur les nouvelles récentes démissions au sein du conseil municipal de Saint-Paul-de-Varces : pas de surprise mais un regret. Pas de surprise car l'actuel fonctionnement du conseil est répulsif comme il l'était déjà hier. Mais un regret, les défis de la Commune sont tels qu'il faut compter avec l'expérience et la connaissance sérieuse des dossiers.
Mon opinion détaillée en cliquant sur le lien suivant :
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C'est avec beaucoup de tristesse que j'ai appris le décès de Mme Marie-Josèphe Bénis. Son nom était associé à la Commune de St Paul de Varces. Son beau père gérait avec compétence, efficacité et gentillesse les régies municipales d'eau et d'électricité. Son mari présidait avec dévouement l'association de chasse et à ce titre connaissait chaque sentier dans le moindre détail. Il prenait plaisir à faire découvrir avec pédagogie les sentiers et les plantes. Ses enfants Jean Luc et Chantal participaient aux jeux de la Commune dans la sécurité la plus totale. Mme Bénis incarnait la gentillesse la plus absolue. Une époque où les habitants de St Paul se disaient "bonjour" quand ils se croisaient. Il y avait l'assurance qu'en cas de problème, la solidarité serait immédiate. Voilà la réalité des faits. Nous avons eu plaisir à vivre cette époque. A connaitre et à aimer ces personnes qui ont ponctué de joies simples mais magnifiques notre enfance : le chocolat du goûter, l'attention pour "réparer" l'égratignure d'un genou à l'issue d'une partie de foot ... Quand on compare, pas plus ici qu'ailleurs, l'ambiance de la société actuelle avec sa violence, sa médiocrité, sa vulgarité ... deux sentiments naissent : d'abord la reconnaissance pour avoir vécu une aussi belle époque. Ensuite l'inquiétude pour nos petits-enfants : au rythme actuel des crises, quel pays allons-nous leur laisser ? Beaucoup de tristesse avec le décès d'une belle personne qui incarnait aussi bien une belle époque. Toutes mes condoléances à sa famille.
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C'est un volet pas assez analysé. Une réalité qui fait que l'on se sente bien ou pas dans une géographie :
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Paul Loup Sulitzer (PLS) est décédé. La vie tortueuse d'un auteur qui avait eu un coup de génie : pourquoi inventer des vies qui sont en elles-mêmes des romans ? A mes yeux, la plus belle réussite : le Roi vert ou la vie de Daniel K. Ludwig (dont le projet Jari) sous le nom de Reb Klimrod. Dans cette logique, il est certain que la recherche documentaire occupe une place majeure. Et de cette recherche à l'écriture proprement dite, il peut y avoir une frontière fragile. Pour avoir rencontré PLS a plusieurs reprises, il y avait de l'humour de sa part à ce sujet. De l'humour, pas de la nervosité. De façon mystérieuse, une étape n'a jamais été franchie : le passage réussi du livre au cinéma. La bande dessinée Largo Winch a réussi ce passage. Les héros de PLS jamais. Et pourtant il y avait toute la matière première.
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Niché au fin fond de l’Himalaya indien, le Papsura est un colosse de 6 437 m dont la face est traversée par une ligne si parfaite et massive qu’elle a mis à l’épreuve les talents des meilleurs skieurs-alpinistes du monde. Le film « Papsura: Peak of Evil » suit les snowboarders professionnels Nick Russell et Jerry Mark depuis la Sierra Nevada en Californie jusqu’à cette région isolée de la chaîne de montagnes la plus emblématique de la planète, où ils se servent de leurs années d’expérience pour s’attaquer à la plus grande ligne de leur vie. Un film magnifique !
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Un réel plaisir la semaine dernière de déjeuner avec André Vallini. Nous nous connaissons depuis le début des années 80 quand nous préparions alors en binôme le concours d'entrée à l'ENA. C'est très instructif d'effectuer la comparaison entre le chemin alors souhaité et celui aujourd'hui réalisé. Il y a de la cohérence entre les faits et les tempéraments. A cette époque, nos discussions sur le futur étaient nombreuses. Les interrogations étaient fortes. Mais si nous ne savions pas exactement ce que nous voulions, nous savions très exactement ce que nous ne voulions pas. Et il y a dans ces refus une grande partie de "patrimoine partagé" notamment en raison de transmissions familiales. Ce qui est agréable c'est de constater des constantes : le goût de couleurs, d'auteurs, la capacité à rire sur des allusions permanentes ... C'est ce qui me marque le plus lorsque je rencontre des personnes sur une longue séquence temps : la continuité de traits de tempéraments.
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